1ère partie de session de l’A.P.C.E. à Strasbourg, du 25 au 29 janvier 2016
Du 25 au 29 janvier, Jean-Charles ALLAVENA, Béatrice FRESKO-ROLFO et Christian BARILARO se sont rendus à Strasbourg pour participer aux travaux de la première partie de session de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (A.P.C.E.).
A cette occasion, les pouvoirs de la délégation monégasque ont été renouvelés par l’Assemblée.
Parallèlement, Jean-Charles ALLAVENA, Président de la délégation, a été désigné troisième Vice-Président de la Commission de suivi ; Béatrice FRESKO-ROLFO, Rapporteur sur les MFG (mutilations génitales féminines), a été réélue Vice-Présidente de la Sous-commission sur le handicap et l’inclusion ; Christian BARILARO a été reconduit dans ses fonctions de Président de la Sous-commission de l’éducation, de la jeunesse et du sport ; enfin Bernard PASQUIER a maintenu sa qualité de Trésorier du groupe politique ALDE (Alliance des démocrates et des libéraux pour l’Europe).
Cette session a été essentiellement marquée par l’élection du nouveau Président de l’A.P.C.E. pour un mandat d’un an, renouvelable une fois. Ainsi, l’espagnol Pedro AGRAMUNT, membre du Parti Populaire Européen (PPE), a succédé à la Luxembourgeoise, Anne BRASSEUR.
Par ailleurs, Jean-Charles ALLAVENA est intervenu au nom du PPE lors de la session plénière du jeudi 28 janvier à la suite des discours prononcés par Lorella STEFANELLI et Nicola RENZI, Capitaines Régents de Saint-Marin, sur notamment la marge de manœuvre de ce petit Etat dans les négociations avec l’Union Européenne.
Christian BARILARO a quant à lui présenté, vendredi 29 janvier devant l’Assemblée, le rapport de Gvozden Srećko FLEGO sur « L’accès à l’école et à l’éducation pour tous les enfants » qui a été adopté par la quasi majorité des membres présents.
L’APCE a également longuement débattue sur des rapports sensibles tels que « L’escalade de la violence dans le Haut-Karabakh et les autres territoires occupés en Azerbaïdjan », « La Méditerranée : une porte d’entrée pour les migrations irrégulières », « Les sanctions prises à l’encontre de parlementaires » ou encore les « Attaques récentes contre des femmes dans des villes européennes : nécessité d’une réponse globale ».