n°246 – Proposition de loi relative à l’utilisation d’un dispositif d’enregistrement numérique sur un registre partagé pour les titres de sociétés non cotées

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n°246 – Proposition de loi relative à l’utilisation d’un dispositif d’enregistrement numérique sur un registre partagé pour les titres de sociétés non cotées

n°246 – Proposition de loi relative à l’utilisation d’un dispositif d’enregistrement numérique sur un registre partagé pour les titres de sociétés non cotées

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Proposition de loi de M. Franck JULIEN, cosignée par Mmes Karen ALIPRENDI-DE-CARVALHO, Mme Nathalie AMORATTI-BLANC, MM. José BADIA, Pierre BARDY, Mmes Corinne BERTANI, Brigitte BOCCONE-PAGES, Mm. Daniel BOERI, Thomas BREZZO, Mme Michèle DITTLOT, M. Jean-Charles EMMERICH, Mmes Béatrice FRESKO-ROLFO, Marie-Noëlle GIBELLI, M. Jean-Louis GRINDA, Mlle Marine GRISOUL, Mm. Franck LOBONO, Marc MOUROU, Fabrice NOTARI, Jacques RIT, Christophe ROBINO, Guillaume ROSE, Balthazar SEYDOUX, Stéphane VALERI et Pierre VAN KLAVEREN

La présente proposition de loi, déposée lors de la Séance Publique du 30 octobre 2019, a vocation à poursuivre la modernisation du droit économique de la Principauté, entreprise par le projet de loi, n°995, relative à la Blockchain.

Le dispositif de la proposition de loi acte la dématérialisation des titres de sociétés non-cotées, en vue d’en faciliter la circulation entre les acteurs économiques.

Les titres, une fois, dématérialisés, sont inscrits sur un registre, présentant toutes les garanties de fiabilité et de sécurité.

La présente proposition de loi offre, ainsi, aux investisseurs et entrepreneurs, des outils modernes et attractifs, et participe à la transition numérique engagée en Principauté.

Ce texte n’a pas fait l’objet d’un texte consolidé.

n°245 – Proposition de loi relative au contrat de cohabitation familiale

n°245 – Proposition de loi relative au contrat de cohabitation familiale

Proposition de loi de Mme Nathalie AMORATTI-BLANC, cosignée par Mmes Karen ALIPRENDI-DE-CARVALHO, MM. José BADIA, Pierre BARDY, Mmes Corinne BERTANI, Brigitte BOCCONE-PAGES, Mm. Daniel BOERI, Thomas BREZZO, Mme Michèle DITTLOT, M. Jean-Charles EMMERICH, Mmes Béatrice FRESKO-ROLFO, Marie-Noëlle GIBELLI, M. Jean-Louis GRINDA, Mlle Marine GRISOUL, Mm. Franck JULIEN, Franck LOBONO, Marc MOUROU, Fabrice NOTARI, Jacques RIT, Christophe ROBINO, Guillaume ROSE, Balthazar SEYDOUX, Stéphane VALERI et Pierre VAN KLAVEREN

La présente proposition de loi, déposée et votée lors de la Séance Publique du 30 octobre 2019, institue, au sein du droit monégasque, un contrat de cohabitation familiale, qui, comme son nom l’indique, ne s’adresse qu’aux familles.

Ce contrat a ainsi vocation à renforcer la solidarité familiale, au travers, notamment, d’un mécanisme de participation aux dettes nées dans le cadre de la communauté de toit.

Il convient, enfin, de souligner l’originalité de la présente proposition de loi, laquelle est essentiellement d’ordre circonstanciel, en ce qu’elle témoigne de la bonne volonté de l’ensemble des élus du Conseil National qui, dans un souci d’apaisement et de cohérence, ont souhaité pouvoir protéger la famille, sans qu’il n’y ait de confusion possible avec l’union libre et le contrat de vie commune prévu par le projet de loi, n°974, dans sa version déposée initialement.

Par courrier en date du 2 janvier 2020, le Gouvernement interrompt la procédure législative suite à l’adoption du Projet de loi n°974 lors de la Séance Publique le 4 décembre 2019.

n°244 – Proposition de loi relative à l’acquisition de la nationalité par mariage

n°244 – Proposition de loi relative à l’acquisition de la nationalité par mariage

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Proposition de loi de M. Stéphane VALERI, cosignée par Mmes Karen ALIPRENDI-DE-CARVALHO, Nathalie AMORATTI-BLANC, MM. José BADIA, Pierre BARDY, Mmes Corinne BERTANI, Brigitte BOCCONE-PAGES, Mm. Daniel BOERI, Thomas BREZZO, Mme Michèle DITTLOT, M. Jean-Charles EMMERICH, Mmes Béatrice FRESKO-ROLFO, Marie-Noëlle GIBELLI, M. Jean-Louis GRINDA, Mlle Marine GRISOUL, Mm. Franck JULIEN, Franck LOBONO, Marc MOUROU, Fabrice NOTARI, Jacques RIT, Christophe ROBINO, Guillaume ROSE, Balthazar SEYDOUX et Pierre VAN KLAVEREN

La présente proposition de loi, déposée lors de la Séance Publique du 17 octobre 2019, réforme la condition de durée nécessaire à l’acquisition de la nationalité par mariage, et s’inscrit dans la volonté des Conseillers Nationaux, de favoriser la cohésion nationale, tout en préservant le modèle social unique de la Principauté.

Actuellement, la nationalité monégasque s’acquiert par déclaration à l’expiration d’un délai de dix ans à compter du mariage avec un ou une Monégasque. La présente proposition envisage d’allonger ce délai, pour le porter à vingt ans, qui ne s’appliquera que pour les mariages célébrés après son entrée en vigueur.

En outre, la proposition de loi renforce les droits dévolus aux conjoints de Monégasques, et en crée de nouveaux au profit des père et mère d’enfants monégasques.

n°243 – Proposition de loi relative à la lutte contre le harcèlement en milieu scolaire

n°243 – Proposition de loi relative à la lutte contre le harcèlement en milieu scolaire

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Proposition de loi de Mme Marie-Noëlle GIBELLI, cosignée par Mmes Karen ALIPRENDI-DE-CARVALHO, Nathalie AMORATTI-BLANC, Mm. José BADIA, Pierre BARDY, Mmes Corinne BERTANI, Brigitte BOCCONE-PAGES, Mm. Daniel BOERI, Thomas BREZZO, Mme Michèle DITTLOT, M. Jean-Charles EMMERICH, Mme Béatrice FRESKO-ROLFO, M. Jean-Louis GRINDA, Mlle Marine GRISOUL, Mm. Franck JULIEN, Franck LOBONO, Marc MOUROU, Fabrice NOTARI, Jacques RIT, Christophe ROBINO, Guillaume ROSE, Balthazar SEYDOUX, Stéphane VALERI et Pierre VAN KLAVEREN.

La présente proposition de loi, déposée lors de la Séance Publique du 10 octobre 2019, vise à doter la Principauté d’un corps de règles destinées à identifier, prévenir, signaler, traiter, et réprimer les situations de harcèlement scolaire.

Elle affirme, en premier lieu, le droit de chaque élève de bénéficier d’un environnement scolaire sûr.

Elle édicte, en deuxième lieu, des dispositions destinées à l’identification des situations de harcèlement scolaire, en définissant précisément ce dernier.

Elle crée, en troisième lieu, en vue de la prévention des situations de harcèlement scolaire, d’une part, une obligation, à la charge des établissements d’enseignement scolaire, de mettre en place des actions de formation et de sensibilisation au profit, tant des élèves que du personnel de ces établissements, et d’autre part, de nouveaux intervenants au sein de ces établissements et de la Direction de l’Éducation Nationale, de la Jeunesse et des Sports, que sont le « référent dédiés à la prévention et à la lutte contre le harcèlement scolaire » et le « délégué à la lutte contre le harcèlement scolaire ».

Elle détermine, en quatrième lieu, les procédures de signalement et de traitement des situations de harcèlement scolaire. Ainsi, en vue d’assurer l’effectivité du traitement de ces situations, le chef d’établissement est investi de devoirs et de pouvoirs destinés à remédier ou à faire cesser les différentes situations qui lui seront rapportées ou dont il aura connaissance.

Enfin, le dispositif de lutte contre les situations de harcèlement scolaire est complété par un volet répressif, destiné à permettre la sanction des auteurs de harcèlement, ainsi que de comportements analogues, tels que le bizutage, la provocation au suicide, ou encore le « revenge porn ».

La proposition de loi, n°243, constitue ainsi une réponse pragmatique au souci de préserver le bien-être de l’élève au sein du milieu scolaire.

Üntra Nui oct 19′. [Budget Rectificatif 2019, Contrat de vie commune, IVG et Peines]

Üntra Nui oct 19′. [Budget Rectificatif 2019, Contrat de vie commune, IVG et Peines]

. Entretien avec le Président (0’23)

. Les clefs du Budget avec Balthazar Seydoux, Franck Lobono, Michèle Dittlot, Jean-Charles Emmerich et Christophe Robino – (19’16)

. Les esprit des lois avec Pierre Van Klaveren (Contrat de vie commune), Nathalie Amoratti-Blanc (Dépénalisation de l’avortement) et Thomas Brezzo (Peines)- (29’40)

. Les tribunes libres avec Brigitte Boccone-Pagès (Primo!), Béatrice Fresko-Rolfo (Horizon Monaco) , Jean-Louis Grinda (Union Monégasque) et Pierre BARDY (Primo!) – (37’08)

Participation du Conseil National à la 45ème Session Plénière de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) à Abidjan (Côte d’Ivoire), du 6 au 9 juillet 2019

Participation du Conseil National à la 45ème Session Plénière de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) à Abidjan (Côte d’Ivoire), du 6 au 9 juillet 2019

Une délégation du Conseil National conduite par Michèle DITTLOT, en sa qualité de Présidente de la Section Monégasque, accompagnée de Mme Marine GRISOUL, Conseiller National, a participé à la 45ème Session plénière de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF), qui s’est tenue à Abidjan du 6 au 9 juillet 2019.

La 45ème session de l’APF, qui réunissait près de 300 parlementaires des pays membres de la Francophonie, a été officiellement ouverte par Amadou Soumahoro, Président de l’Assemblée nationale ivoirienne, François Paradis, Président de l’Assemblée nationale du Québec et Président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de la Francophonie, et par Daniel Kablan Duncan, Vice-Président de la République de Côte d’Ivoire.

Le débat général, sur le thème : « Parlements et renforcement de la démocratie », introduit par le Professeur Yacouba Konaté, a permis aux parlementaires d’échanger des informations sur les bonnes pratiques démocratiques.

A cette occasion, Michèle DITTLOT a pris la parole au titre de la section de Monaco. Elle a précisé que le Conseil National, porte-parole naturel des Monégasques, est le garant de l’expression démocratique et que nos concitoyens s’en sentent très proches d’autant qu’il n’est pas rare qu’ils connaissent personnellement leurs représentants. Elle a ajouté qu’il est évident que la proximité des Elus dans nos petits Etats, par rapport à leurs électeurs, est un atout pour la participation politique des citoyens.

Michèle DITTLOT n’a pas manqué de soulignerla présence forte de membres de la société civile (syndicats, associations et groupements professionnels), actifs dans le débat public, qui sont d’ailleurs régulièrement consultés sur les grands dossiers.

En marge de cette 45ème session, les Elues Monégasques ont participé à la réunion du Réseau des femmes parlementaires, dont l’ordre du jour portait sur l’autonomisation des femmes à l’ère du numérique, les besoins en santé des femmes et des filles réfugiées, la traite des femmes et des filles dans l’espace francophone.

A l’occasion des travaux de ce Réseau, a notamment été abordée la question du suivi des engagements internationaux en matière d’égalité des genres et des droits des femmes et un atelier consacré aux normes ISO sur les enjeux de l’accueil des femmes réfugiées s’est également tenu.

En outre, les Elues Monégasques ont pu suivre les travaux des commissions de l’APF : Michèle DITTLOT a participé à la Commission Politique, et Marine GRISOUL a suivi les travaux de la Commission de l’Education, de la Communication et des Affaires Culturelles (CECAC), ainsi que ceux de la Commission de la Coopération et du Développement.

Marine GRISOUL a, en outre, pu assister à la première réunion du Réseau des jeunes parlementaires de l’APF, qui a pour objectif de rassembler les jeunes parlementaires autour des valeurs de la Francophonie, de favoriser les échanges d’expertise et d’encourager la solidarité.

En séance plénière, elle a été désignée, par ses pairs, pour s’adresser, au titre dudit Réseau, à Louise MUSHIKIWABO, Secrétaire générale de la Francophonie, sur l’implication de la jeunesse et la place qu’elle souhaite offrir au Réseau à l’occasion du Sommet de la Francophonie de Tunis en 2020.

A l’issue des fructueux échanges intervenus entre Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de la Francophonie et les parlementaires, l’Assemblée plénière a examiné et adopté le rapport d’activité du Secrétaire général parlementaire, Jacques Krabal (député, France), ainsi que le nouveau cadre stratégique de l’APF 2019-2022.

Les parlementaires ont par ailleurs adopté 13 résolutions, portant notamment sur la situation politique en Haïti, la gouvernance du numérique, la corruption comme obstacle au développement économique, la mobilité étudiante, la reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, les besoins en santé des femmes et des filles réfugiées, la traite des êtres humains, ainsi que – pour la première fois – deux propositions de loi cadre sur l’enregistrement obligatoire, gratuit et public des naissances, ainsi que sur la protection des données personnelles.

Les parlementaires ont officiellement approuvé l’adhésion de l’Assemblée de la Polynésie française, en tant que membre de l’APF, et le changement de statut de l’Assemblée nationale de la République de Serbie, qui est passée d’Observateur à membre associé.

Cette session s’est achevée par l’élection, pour les deux prochaines années, des titulaires aux postes de responsabilité de l’APF. Ainsi, Amadou Soumahoro, Président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, a été élu Président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie et Darrell Samson, député canadien, Premier Vice-Président.

Une délégation du Conseil National participera à une prochaine réunion de l’APF, qui aura lieu dans le Canton Suisse du Jura, dans le cadre de l’Assemblée Régionale Europe, en novembre prochain. A cette occasion, la section monégasque de l’APF annoncera le programme de la Conférence des Présidents de Sections européennes, qui se tiendra en Principauté, du 5 au 7 avril 2020, à l’invitation du Conseil National de Monaco.

 


L’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) : En 1967, suite à l’adoption d’une proposition de Léopold Sédar Senghor, un certain nombre de parlementaires francophones se sont réunis afin de créer une association pour défendre la langue française et assurer son rayonnement, nommée l’Association internationale des parlementaires de langue française (AIPLF). Au fil des années, cette dernière a évolué pour devenir l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF). Aujourd’hui, l’APF est composée de 83 sections réparties sur les cinq continents.

Participation du Conseil National à la 45ème Session Plénière de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) à Abidjan (Côte d’Ivoire), du 6 au 9 juillet 2019

Participation du Conseil National à la 45ème Session Plénière de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) à Abidjan (Côte d’Ivoire), du 6 au 9 juillet 2019

Une délégation du Conseil National conduite par Michèle DITTLOT, en sa qualité de Présidente de la Section Monégasque, accompagnée de Mme Marine GRISOUL, Conseiller National, a participé à la 45ème Session plénière de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF), qui s’est tenue à Abidjan du 6 au 9 juillet 2019.

La 45ème session de l’APF, qui réunissait près de 300 parlementaires des pays membres de la Francophonie, a été officiellement ouverte par Amadou Soumahoro, Président de l’Assemblée nationale ivoirienne, François Paradis, Président de l’Assemblée nationale du Québec et Président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de la Francophonie, et par Daniel Kablan Duncan, Vice-Président de la République de Côte d’Ivoire. 

Le débat général, sur le thème : « Parlements et renforcement de la démocratie », introduit par le Professeur Yacouba Konaté, a permis aux parlementaires d’échanger des informations sur les bonnes pratiques démocratiques.

A cette occasion, Michèle DITTLOT a pris la parole au titre de la section de Monaco. Elle a précisé que le Conseil National, porte-parole naturel des Monégasques, est le garant de l’expression démocratique et que nos concitoyens s’en sentent très proches d’autant qu’il n’est pas rare qu’ils connaissent personnellement leurs représentants.  Elle a ajouté qu’il est évident que la proximité des Elus dans nos petits Etats, par rapport à leurs électeurs, est un atout pour la participation politique des citoyens.

Michèle DITTLOT n’a pas manqué de souligner la présence forte de membres de la société civile (syndicats, associations et groupements professionnels) actifs dans le débat public, qui sont d’ailleurs régulièrement consultés sur les grands dossiers.

En marge de cette 45ème session, les Elues Monégasques ont participé à la réunion du Réseau des femmes parlementaires, dont l’ordre du jour portait sur l’autonomisation des femmes à l’ère du numérique, les besoins en santé des femmes et des filles réfugiées, la traite des femmes et des filles dans l’espace francophone.

A l’occasion des travaux de ce Réseau, a notamment été abordée la question du suivi des engagements internationaux en matière d’égalité des genres et des droits des femmes et un atelier consacré aux normes ISO sur les enjeux de l’accueil des femmes réfugiées s’est également tenu.

En outre, les Elues Monégasques ont pu suivre les travaux des commissions de l’APF : Michèle DITTLOT a participé à la Commission Politique et Marine GRISOUL a suivi les travaux de la Commission de l’Education, de la Communication et des Affaires Culturelles (CECAC), ainsi que ceux de la Commission de la Coopération et du Développement.

Marine GRISOUL a en outre, pu assister à la première réunion du Réseau des jeunes parlementaires de l’APF, qui a pour objectif de rassembler les jeunes parlementaires autour des valeurs de la Francophonie, de favoriser les échanges d’expertise et d’encourager la solidarité.

En séance plénière, elle a été désignée, par ses pairs, pour s’adresser, au titre dudit Réseau, à Louise MUSHIKIWABO, Secrétaire générale de la Francophonie, sur l’implication de la jeunesse et la place qu’elle souhaite offrir au Réseau à l’occasion du Sommet de la Francophonie de Tunis en 2020.

A l’issue des fructueux échanges intervenus entre Louise Mushikiwabo, Secrétaire générale de la Francophonie et les parlementaires, l’Assemblée plénière a examiné et adopté le rapport d’activité du Secrétaire général parlementaire, Jacques Krabal (député, France), ainsi que le nouveau cadre stratégique de l’APF 2019-2022.

Les parlementaires ont par ailleurs adopté 13 résolutions, portant notamment sur la situation politique en Haïti, la gouvernance du numérique, la corruption comme obstacle au développement économique, la mobilité étudiante, la reconstitution des ressources du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, les besoins en santé des femmes et des filles réfugiées, la traite des êtres humains, ainsi que – pour la première fois – deux propositions de loi cadre sur l’enregistrement obligatoire, gratuit et public des naissances, ainsi que sur la protection des données personnelles. 

Les parlementaires ont officiellement approuvé l’adhésion de l’Assemblée de la Polynésie française, en tant que membre de l’APF, et le changement de statut de l’Assemblée nationale de la République de Serbie, qui est passée d’Observateur à membre associé.

Cette session s’est achevée par l’élection, pour les deux prochaines années, des titulaires aux postes de responsabilité de l’APF. Ainsi, Amadou Soumahoro, Président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, a été élu Président de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie et Darrell Samson, député canadien, Premier Vice-Président.

Une délégation du Conseil National participera à une prochaine réunion de l’APF, qui aura lieu dans le Canton Suisse du Jura, dans le cadre de l’Assemblée Régionale Europe, en novembre prochain. A cette occasion, la section monégasque de l’APF annoncera le programme de la Conférence des Présidents de Sections européennes, qui se tiendra en Principauté, du 5 au 7 avril 2020, à l’invitation du Conseil National de Monaco.


L’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (APF) : En 1967, suite à l’adoption d’une proposition de Léopold Sédar Senghor, un certain nombre de parlementaires francophones se sont réunis afin de créer une association pour défendre la langue française et assurer son rayonnement, nommée l’Association internationale des parlementaires de langue française (AIPLF). Au fil des années, cette dernière a évolué pour devenir l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF). Aujourd’hui, l’APF est composée de 83 sections réparties sur les cinq continents.

20 mars 2019 : Journée Internationale de la Francophonie

20 mars 2019 : Journée Internationale de la Francophonie

Le 20 mars 2019, Journée Internationale de la Francophonie, la Section monégasque de l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie (A.P.F.), présidée par Madame Michèle DITTLOT, est heureuse de pouvoir s’associer à ce grand moment de fraternité et de partage entre les 220 millions de francophones des cinq continents.

Cette date a été choisie en référence au 20 mars 1970, marqué par la création à Niamey (Niger) de l’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT), future Organisation internationale de la Francophonie (OIF).

Cette journée est un moment de fête et une occasion pour célébrer la langue française.

En juillet 2019, l’Assemblée Parlementaire de la Francophonie organise en marge de sa réunion Plénière, le 9ème Parlement Francophone des Jeunes.

Dans cette perspective, le Conseil National a lancé un concours pour sélectionner les deux jeunes Monégasques qui représenteront la Principauté dans un pays francophone, au sein de ce 9ème Parlement Francophone des Jeunes (PFJ).

Cette manifestation, qui réunit des jeunes appartenant à 52 pays francophones, a pour objectif de développer les qualités civiques, en initiant les participants à l’activité parlementaire, ainsi que de débattre sur des problématiques liées à la politique internationale.

Pour représenter Monaco au sein de ce Parlement des Jeunes, le Conseil National va procéder à la sélection de deux jeunes Monégasques (18-23 ans), suivant un cursus scolaire ou supérieur, impliqués dans la vie associative ou membres d’un mouvement de jeunesse.

Dans ce cadre, la section monégasque de l’APF se félicite des nombreuses candidatures reçues pour représenter la Principauté à ce prochain rendez-vous de la Francophonie.

Pour plus de renseignements sur la Journée Internationale de la Francophonie et les évènements organisés de par le monde, la Section monégasque de l’A.P.F. vous invite à consulter le site Internet www.20mars.francophonie.org.

Bonne fête de la Francophonie.

Le Conseil National à la rencontre des aînés de la Principauté pour les voeux

Le Conseil National à la rencontre des aînés de la Principauté pour les voeux

Fidèles à la tradition, les élus* du Conseil National sont allés saluer, courant janvier, tous les résidents et patients du Cap Fleuri, de la Résidence A Qietüdine, de la Fondation Hector Otto ou encore du Centre de Gérontologie Clinique Rainier III, sans oublier les personnes accueillies au Centre Speranza.

Ces voeux ont été l’occasion, pour les élus du Conseil National, de passer de précieux moments à leurs côtés, de partager – en musique- quelques gourmandises et d’échanger avec les aînés.

« C’est un réel plaisir, chaque année, de présenter nos voeux les plus chaleureux à nos aînés en allant à leur rencontre dans les différents établissements dans lesquels ils sont hébergés. Le lien social privilégié qui nous unit est essentiel à Monaco. Il est de notre devoir de l’entretenir mais surtout de le renforcer », souligne la Vice-Présidente Brigitte Boccone- Pages.

A l’occasion de ces différentes visites, le Président Stéphane Valeri a tenu à leur exprimer, au nom de l’ensemble des élus, sa reconnaissance pour nous avoir légué un Pays prospère sur le plan économique et avancé sur le plan social : « Quand on regarde les différentes crises dans le monde, il est très important d’estimer la chance que nous avons de vivre à Monaco. Notre Principauté est dotée d’un modèle économique et social des plus performants qui nous permet, notamment, de bénéficier de maisons de retraite de qualité, avec un personnel bien formé et compétent, qui réalise un travail formidable tout au long de l’année. Ce sont pour toutes ces raisons qu’il est de notre devoir, et nous nous y employons sans relâche, de transmettre aux générations futures un Pays aussi prospère et solidaire que celui qui nous a été légué par nos parents. »

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* Ont été présents aux côtés du Président au cours des différentes visites : la Vice- Présidente Brigitte Boccone-Pages , le Président de la Commission Education et Jeunesse, Marc Mourou, le Président de la Commission du Logement, Franck Lobono, la Présidente de la Commission des Droits de la Femme et de la Famille, Amoratti- Blanc, le Président de la Commission Culture et Patrimoine, Daniel Boeri, le Président de la Commission pour le Développement du Numérique, Franck Julien, Karen Aliprendi de Carvalho, Pierre Bardy, Corinne Bertani, Michèle Dittlot, Beatrice Fresko-Rolfo, Marie-Noëlle Gibelli, Marine Grisoul et Pierre Van Klaveren, Conseillers Nationaux ainsi que Maryse Battaglia, chargée des Affaires Sociales au Cabinet du Président.

Journée Internationale de la Fille

Journée Internationale de la Fille

Le Conseil National s’associe avec She Can He Can à la campagne Girl2Leader pour la Journée Internationale de la Fille.

Nathalie Blanc-Amoratti : « Je souhaite que She Can He Can puisse aider les jeunes générations et leurs parents à remettre en question les stéréotypes afin de pouvoir réaliser leur plein potentiel, indépendamment de leur genre. »

En ce 11 octobre, l’Assemblée s’est habillée de violet, la couleur officielle de Girl2Leader à l’occasion de la venue d’une quinzaine de lycéennes, sélectionnées par la Direction de l’Education Nationale, qui ont participé avec des membres de la communauté éducative à une séance d’échanges autour de la place des jeunes femmes en politique avec les élus *, en particulier les femmes, du Conseil National.

Cette initiative revient à l’Association She Can He Can (anciennement GenderHopes), présidée par Vibeke Thomsen qui oeuvre pour « encourager les jeunes filles à prendre des rôles de leader ». L’association s’engage activement dans des actions comme la Journée Internationale de la Fille. En 2011, les Nations Unies ont en effet désigné le 11 Octobre, dans le but de mettre en lumière les droits des filles et les défis uniques auxquels elles sont confrontées dans le monde entier.

Le Président, qui avait créé la Commission des Droits de la Femme en 2003, a rappelé : « Qu’il ne suffit pas de faire bouger les mentalités, mais qu’il faut accompagner le changement en faisant évoluer les lois et en s’engageant par des actes pour l’égalité Femme/Homme, comme par exemple permettre l’élection de la première Vice-Présidente de l’histoire du Conseil National : Brigitte Boccone-Pagès.»

Il a par ailleurs appelé de ses voeux les nouvelles générations de femmes à s’engager en politique : « Je sais, Mesdemoiselles, que vous êtes impliquées dans vos études et particulièrement méritantes. Votre présence aujourd’hui témoigne de votre intérêt pour la vie de votre Pays. »

 

* Elus présents lors de cette manifestation :le Président Stéphane Valeri, la Vice-Présidente Brigitte Boccone-PagèsNathalie Blanc-amoratti, Présidente de la Commission des Droits de la Femme et de la Famille, Marc Mourou, Président de la Commission Education et Jeunesse, Michèle DittlotKaren Aliprendi de Carvalho et Brigitte Boccone-Pagès, Conseillers Nationaux.