Étiquette : Famille et Égalité

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Commission de la condition de la femme – Nations Unies – New York

Commission de la condition de la femme – Nations Unies – New York

La Présidente de la Commission des droits de la femme et de la famille, Nathalie AMORATTI-BLANC et Béatrice FRESKO-ROLFO, Conseiller national, se sont rendues les 12 et 13 mars dernier au siège des Nations Unies pour assister à la 63ème Session de la Commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW)(1).

Le 12 mars, dans le cadre de ses fonctions de Rapporteur Général du réseau parlementaire sur les violences à l’égard des femmes, Béatrice FRESKO-ROLFO a accompagné la Présidente de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe, Liliane MAURY-PASQUIER à deux rendez-vous.

Le premier avec Ninette KELLEY, Directeur du bureau du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés et le second avec Gabriella CUEVAS, Présidente de l’Union Interparlementaire (UIP), durant lesquels ont été évoqués plusieurs sujets liés aux droits humains et aux objectifs de développement durables (ODD).

De même, Béatrice FRESKO ROLFO a assuré la présidence de la commission ad hoc du Conseil de l’Europe qui assistait à un évènement sur le sexisme, harcèlement et violence contre les femmes parlementaires.

Le 13 mars, Nathalie AMORATTI-BLANC et Béatrice FRESKO ROLFO ont pris part à une réunion organisée par l’Union Interparlementaire sur le thème « Investir dans l’égalité des sexes : Les parlements veillent à ce que la protection sociale, les services publics et les infrastructures bénéficient aux femmes et aux filles ».

Lors de cette réunion, ont été évoqués les politiques de protection sociale sensibles au genre, l’accessibilité des infrastructures pour les femmes ainsi que le rôle du Parlement pour faire en sorte que les fonds alloués à la protection sociale, aux services publics et aux infrastructures contribuent à faire progresser l’égalité des sexes.

 


(1) La Commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW) est le principal organe intergouvernemental mondial dédié exclusivement à la promotion de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes.

 

 

 

 

 

 

 

Le 14 mars, lors d’une réunion organisée conjointement entre l’UIP et les Nations Unies, Nathalie AMORATTI-BLANC est intervenue en anglais sur la place des femmes en politique. Elle a ainsi insisté sur le fait que « si dans le monde, la part des femmes dans les Parlements nationaux est de seulement 24%, je suis fière de pouvoir dire qu’à Monaco, un tiers de l’hémicycle est composé de femmes élues, et d’ajouter que notre Vice-Présidente est une femme ! ».

 Elle a également ajouté que « c’est là qu’une organisation comme l’ONU doit montrer toute sa clairvoyance et faire preuve d’une grande fermeté par rapport aux pays du monde qui ne s’engagent pas dans cette voie ».

Enfin, en marge de la Session, Nathalie AMORATTI-BLANC a eu l’occasion de s’entretenir avec S.E. Madame Isabelle PICCO, Ambassadeur de la Principauté de Monaco auprès de l’Organisation des Nations Unies, afin d’évoquer les travaux de cette Session interministérielle. 

[1] La Commission de la condition de la femme des Nations Unies (CSW) est le principal organe intergouvernemental mondial dédié exclusivement à la promotion de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes

8marsMonaco ♀: Le Conseil National célèbre la Journée Internationale des Droits des Femmes autour du thème de « l’égalité au travail »

8marsMonaco ♀: Le Conseil National célèbre la Journée Internationale des Droits des Femmes autour du thème de « l’égalité au travail »

Alors que les mentalités changent et qu’elles sont suivies, parfois avec retard, par le cadre juridique et l’organisation des entreprises, la réalité concrète de l’égalité entre femmes et hommes reste, quant à elle, fâcheusement éloignée des bonnes intentions. 

Pour marquer l’engagement du Conseil National et accélérer cette exigence d’égalité, un événement est organisé au sein de l’Assemblée ce 8 mars à 18h00, à l’initiative du Président Stéphane Valeri et la Présidente de la Commission des Droits de la Femme et de la Famille, créée dès 2003 au Conseil National, Nathalie Blanc-amoratti.

Cet événement rassemblera de nombreuses femmes exemplaires, issues de tous horizons professionnels, ainsi que des représentantes d’associations qui se consacrent à valoriser les femmes à Monaco. Pour Nathalie Amoratti-Blanc : « l’égalité femmes-hommes au travail est un long combat, il reste encore tant à faire. »

Retrouvez les discours du Président Stéphane Valéri et de Nathalie Amoratti-Blanc, Président de la Commission des Droits de la Femme et de la Famille, en cliquant ici.

n°1465 – Loi relative à l’aide à la famille monégasque et à l’aide sociale

n°1465 – Loi relative à l’aide à la famille monégasque et à l’aide sociale

Ce projet de loi résulte de la transformation de la proposition de loi n° 220, portant création de l’aide nationale à la famille, adoptée par le Conseil National lors de la Séance Publique du 30 novembre 2015.

Ce texte a toutefois un objet plus large que la proposition de loi précitée puisque celui-ci encadre de façon globale les différentes prestations familiales et aides sociales versées par l’Etat ou pour son compte, conformément à l’article 26 de la Constitution aux termes duquel « les Monégasques ont droit à l’aide de l’Etat en cas d’indigence, chômage, maladie, invalidité vieillesse, et maternité, dans les conditions prévues par la loi ».

Droits de l’Enfant – Protégeons mieux nos enfants

Droits de l’Enfant – Protégeons mieux nos enfants

Les enfants sont à l’honneur à l’occasion, cette semaine, du 29e anniversaire de l’adoption de la Convention Internationale relative aux Droits de l’Enfant.

Cette Convention, adoptée à l’unanimité par l’Organisation des nations unies (ONU) le 20 novembre 1989, garantit aux enfants du monde entier des droits.

À Monaco, leur situation est évidemment incomparable avec de nombreux pays : Aujourd’hui encore, 265 millions d’enfants dans le monde n’ont pas accès à l’école et 250 millions subissent directement les conséquences de conflits et de guerres (source : UNICEF). Pour autant, nos enfants doivent être toujours mieux protégés, du fait de l’arrivée de formes d’agression liées souvent aux nouveaux moyens de communication : diffusion de fausses nouvelles, harcèlement…

Le Conseil National et le Gouvernement Monaco s’attaquent, au travers de textes qui seront bientôt présentés et d’actions concrètes, à ces formes d’agression :

D’ores et déjà, le Projet de Loi N°973, pour lequel Thomas Brezzo, Président de la Commission de Législation à été désigné Rapporteur, a pour objectif de garantir le respect de la vie privée, en prévenant les atteintes injustifiées à l’honneur et à la dignité. Ce texte s’adresse à chacun, mais permettra, en particulier, de mieux défendre nos enfants lorsqu’ils sont victimes, par exemple, d’attaques visant à les salir sur les réseaux sociaux.
Par ailleurs, une grande réflexion a été lancée en vue d’adopter les meilleures dispositions pour mieux combattre le harcèlement scolaire, trop longtemps sous-estimé. Ce chantier important pour notre jeunesse fait l’objet de rencontres entre Marc Mourou, le Président de la Commission Éducation et Jeunesse et Gibelli Marie-Noëlle, la Direction de l’Éducation Nationale, des associations (« Action Innocence », « Jeune J’écoute ») ainsi que des professionnels de santé (CHPG).
Ces deux sujets visent à prendre une série de mesures qui participeront à mieux protéger nos enfants.

Journée Internationale de la Fille

Journée Internationale de la Fille

Le Conseil National s’associe avec She Can He Can à la campagne Girl2Leader pour la Journée Internationale de la Fille.

Nathalie Blanc-Amoratti : « Je souhaite que She Can He Can puisse aider les jeunes générations et leurs parents à remettre en question les stéréotypes afin de pouvoir réaliser leur plein potentiel, indépendamment de leur genre. »

En ce 11 octobre, l’Assemblée s’est habillée de violet, la couleur officielle de Girl2Leader à l’occasion de la venue d’une quinzaine de lycéennes, sélectionnées par la Direction de l’Education Nationale, qui ont participé avec des membres de la communauté éducative à une séance d’échanges autour de la place des jeunes femmes en politique avec les élus *, en particulier les femmes, du Conseil National.

Cette initiative revient à l’Association She Can He Can (anciennement GenderHopes), présidée par Vibeke Thomsen qui oeuvre pour « encourager les jeunes filles à prendre des rôles de leader ». L’association s’engage activement dans des actions comme la Journée Internationale de la Fille. En 2011, les Nations Unies ont en effet désigné le 11 Octobre, dans le but de mettre en lumière les droits des filles et les défis uniques auxquels elles sont confrontées dans le monde entier.

Le Président, qui avait créé la Commission des Droits de la Femme en 2003, a rappelé : « Qu’il ne suffit pas de faire bouger les mentalités, mais qu’il faut accompagner le changement en faisant évoluer les lois et en s’engageant par des actes pour l’égalité Femme/Homme, comme par exemple permettre l’élection de la première Vice-Présidente de l’histoire du Conseil National : Brigitte Boccone-Pagès.»

Il a par ailleurs appelé de ses voeux les nouvelles générations de femmes à s’engager en politique : « Je sais, Mesdemoiselles, que vous êtes impliquées dans vos études et particulièrement méritantes. Votre présence aujourd’hui témoigne de votre intérêt pour la vie de votre Pays. »

 

* Elus présents lors de cette manifestation :le Président Stéphane Valeri, la Vice-Présidente Brigitte Boccone-PagèsNathalie Blanc-amoratti, Présidente de la Commission des Droits de la Femme et de la Famille, Marc Mourou, Président de la Commission Education et Jeunesse, Michèle DittlotKaren Aliprendi de Carvalho et Brigitte Boccone-Pagès, Conseillers Nationaux.

Nathalie Blanc-Amoratti désignée rapporteur du Projet de loi relative à l’aide à la famille monégasque et à l’aide sociale

Nathalie Blanc-Amoratti désignée rapporteur du Projet de loi relative à l’aide à la famille monégasque et à l’aide sociale

Mme Nathalie Blanc-Amoratti est désignée rapporteur du Projet de loi relative à l’aide à la famille monégasque et à l’aide sociale. Ce projet de loi résulte de la transformation de la proposition de loi n° 220, portant création de l’aide nationale à la famille. Ce texte a toutefois un objet plus large que la proposition de loi initiale puisqu’il encadre de façon globale les différentes prestations familiales et aides sociales versées directement ou indirectement par l’État.

Lors des travaux qui accompagneront ce projet de loi, la Commission des Droits de la Femme et de la Famille souhaite :

– Adopter une approche positive liée à la création de nouvelles aides ou à la formalisation d’aides existantes dans la loi, ce qui apportera précision, clarté, lisibilité et sécurité.

– Conforter l’excellence de notre modèle Social et de notre système de Santé.

– Conserver ou instaurer des plafonds de ressources afin que les aides sociales ne soient versées qu’à ceux dont la situation le justifie vraiment.

 – Demander la création d’un guichet unique en matière d’aides sociales. Celui-ci aurait pour missions : information, orientation, coordination et communication.

M. Guillaume Rose désigné Rapporteur du projet de loi sur l’adoption

M. Guillaume Rose désigné Rapporteur du projet de loi sur l’adoption

La Commission des Droits de la Femme et de la Famille de la nouvelle mandature présidée par Nathalie AMORATTI-BLANC a débuté l’examen du projet de loi sur l’adoption.

Ce texte a pour objectif d’actualiser le droit de l’adoption en s’assurant de la défense :

– de l’intérêt de l’enfant dans la procédure d’adoption ;

– du droit de l’adopté d’avoir accès aux informations concernant ses origines conformément à la Convention de New-York relative aux Droits de l’Enfant.

La Commission a désigné M. Guillaume ROSE en tant que rapporteur du texte. Ce dernier souhaite faire avancer l’examen du projet en rencontrant très prochainement des représentants du Gouvernement et de la Direction des Services Judiciaires. 

Le Conseil National s’engage pour la Journée Internationale des Droits des Femmes

Le Conseil National s’engage pour la Journée Internationale des Droits des Femmes

Comme il est de tradition depuis 2004 (à l’initiative de Stéphane Valeri et à l’occasion de la création de la commission des droits de la femme et de la famille), le Conseil National s’est associé à la Journée Internationale des Droits des Femmes.

Cette année le thème choisi était : les Femmes dans la Cité de Demain. 
Près d’une centaine de femmes ont été mises à l’honneur à l’occasion d’une réception organisée dans l’enceinte du Conseil National.

Après l’ouverture de cet événement par Brigitte Boccone-Pagès, la première femme Vice-Présidente du Conseil National, ont pris successivement la parole Nathalie Amoratti-Blanc, Présidente de la Commission des Droits de la Femme et de la Famille, et Stéphane Valeri, Président du Conseil National.

Après avoir salué le rôle des femmes dans le développement harmonieux de la Principauté et leur contribution à préparer le Monaco de demain, ce dernier est revenu sur les principales mesures politiques souhaitées par la majorité pour faire évoluer les mentalités et la législation en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes.

n°234 – Proposition de loi relative à la dépénalisation de l’interruption volontaire de grossesse

n°234 – Proposition de loi relative à la dépénalisation de l’interruption volontaire de grossesse

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La proposition de loi n° 234 entend modifier l’article 248 du Code pénal qui définit et réprime le délit d’avortement en ajoutant une nouvelle exception au principe d’interdiction de l’avortement. Ainsi, le délit d’avortement ne serait plus caractérisé lorsqu’« à la demande de la femme enceinte, la grossesse est interrompue avant la fin de la douzième semaine de grossesse ».


 

n°1450 – Loi relative à la résidence alternée

n°1450 – Loi relative à la résidence alternée

Le projet de loi n° 922 est issu de la Proposition de loi n°203. Il entend introduire le principe de la résidence alternée dans le droit de la famille monégasque.

S’inscrivant dans la continuité de la loi n° 1.278 du 29 décembre 2003 et dans le respect des engagements internationaux de la Principauté, ce texte garde comme leitmotiv l’intérêt de l’enfant dans toutes les décisions le concernant et en considérant que celui-ci doit prévaloir sur l’intérêt de ses parents.

Ce texte apporte enfin un cadre approprié permettant de modifier les dispositions du Code civil relatives à la médiation familiale afin qu’elles correspondent davantage à l’essence de la médiation.