Catégorie : Textes & Lois

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n°1569 – Loi du 12 décembre 2024 relative aux stages en milieu professionnel

n°1569 – Loi du 12 décembre 2024 relative aux stages en milieu professionnel

Dépôt du projet de loi

Dépôt en Séance Publique et renvoi devant la Commission

CEJS : Début de l’étude

CLEG : Désignation du Rapporteur

CEJS : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CEJS : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CEJS : Approbation du rapport

Adopté en Séance Publique

Publication au Journal de Monaco


Le projet de loi n° 1095, relative aux stages en milieu professionnel, a pour objet d’encadrer les stages des étudiants des établissements d’enseignement supérieur, à l’exclusion de ceux réalisés pour l’exercice des professions médicales.

Ce texte vise à réglementer les conditions de validité et d’exécution de ces stages. Il prévoit, à cet égard, une procédure d’autorisation délivrée par la Direction du travail, ainsi que plusieurs obligations pour les organismes d’accueil, telles que la fourniture de missions conformes aux objectifs pédagogiques prévus par la convention de stage et le versement d’une gratification pour les stages de plus de deux mois. Il prévoit également l’interdiction d’occuper un stagiaire pour un emploi saisonnier ou pour remplacer un salarié absent ou en arrêt de travail.


 

N°1568 – Loi du 12 décembre 2024 fixant les pouvoirs des médecins-inspecteurs de santé publique

N°1568 – Loi du 12 décembre 2024 fixant les pouvoirs des médecins-inspecteurs de santé publique

Dépôt du projet de loi

Dépôt en Séance Publique et renvoi devant la Commission

CISAD : Désignation du Rapporteur

CISAD : Début de l’étude

CISAD : Etude du texte consolidé et validation des amendements

CISAD : Approbation du rapport

Adopté en Séance Publique

Publication au Journal de Monaco


Le projet de loi n° 1091 précise les conditions d’intervention des médecins-inspecteurs de santé publique dans le cadre de leur mission de contrôle du respect des dispositions législatives et réglementaires relevant de leurs attributions.

Ainsi, ce projet vient compléter le cadre législatif des attributions du médecin-inspecteur de santé publique déjà prévues par les textes réglementaires. Pour ce faire, il s’inspire des dispositions qui avaient été écartées lors du vote du projet de loi n° 1040 relative à la préservation de la santé des patients dans les structures de soins qui prévoyait un ensemble de mesures de prévention et renforçait les pouvoirs de contrôle et d’inspection des médecins-inspecteurs. 

En outre, le projet de loi précise les règles relatives à l’établissement du procès-verbal de la visite de contrôle et des opérations sur place, ainsi qu’aux suites juridictionnelles et disciplinaires.

Enfin, le projet érige en délit le fait de faire obstacle ou de tenter de faire obstacle à l’exercice des missions du médecin-inspecteur de santé publique relatives au contrôle du respect des dispositions législatives et réglementaires relevant de ses attributions et à la recherche, ainsi qu’au constat d’éventuels manquements ou infractions.


 

n°1567 – Loi du 12 décembre 2024 relative à la gestion des risques associés aux soins

n°1567 – Loi du 12 décembre 2024 relative à la gestion des risques associés aux soins

Dépôt du projet de loi

Dépôt en Séance Publique et renvoi devant la Commission

CISAD : Début de l’étude

CISAD : Désignation du Rapporteur

CISAD : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CISAD : Approbation du rapport

Adopté en Séance Publique

Publication dans le Journal de Monaco


Le projet de loi n° 1090 a pour objet de lutter contre les évènements indésirables associés aux soins, tels que les infections, en instituant des obligations de déclaration de ces évènements et d’information des victimes, pour les professionnels et établissements de santé.

Cette gestion des risques associés aux soins leur impose de prévenir l’apparition de tout évènement indésirable lié aux soins affectant la personne prise en charge. Elle impose, en outre, en cas de survenance d’un incident, à l’identifier, à en analyser les causes et à en atténuer ou à en supprimer les effets dommageables. Enfin, les professionnels et établissements de santé seront tenus de prévoir des mesures permettant d’éviter la réitération d’un évènement indésirable identifié.

Ce texte s’inscrit dans le prolongement de l’engagement du Gouvernement, pris auprès du Conseil National dans le cadre du projet loi n° 1040 relative à la préservation de la santé des patients dans les structures de soins, finalement limité aux infections nosocomiales, d’élaborer un texte relatif à la gestion des risques associés aux soins.


 

n°1566 – Loi du 3 décembre 2024 portant approbation de ratification du Protocole d’amendement de la Convention pour la protection des personnes à l’égard du traitement automatisé des données à caractère personnel

n°1566 – Loi du 3 décembre 2024 portant approbation de ratification du Protocole d’amendement de la Convention pour la protection des personnes à l’égard du traitement automatisé des données à caractère personnel

Dépôt du projet de loi

Dépôt en Séance Publique et renvoi devant la Commission

CDN : Désignation du Rapporteur

CDN : Début de l’étude

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Approbation du rapport

Adopté en Séance Publique

Publication au Journal de Monaco


Ce projet de loi a pour objet, conformément aux dispositions de l’article 14 de la Constitution, de soumettre à l’approbation du Conseil National la ratification du protocole d’amendement à la Convention sur la protection des personnes à l’égard du traitement automatisé des données à caractère personnel, dans la mesure où cette ratification entraîne une modification des dispositions législatives existantes.

Cette convention internationale, signée par Monaco le 18 octobre 2018, consacre, en effet, de nouveaux droits au bénéfice des personnes concernées, notamment dans le contexte de prises de décisions fondées sur des algorithmes. Elle consacre également le principe de protection des données dès la phase de conception, ainsi que les principes de proportionnalité et de minimisation des données, et de licéité du traitement.

Au regard des modifications ainsi introduites, la ratification de cette Convention implique la modification de la législation monégasque en vigueur et, plus précisément, de la loi n° 1.165 du 23 décembre 1993 relative à la protection des informations nominatives, modifiée.

Ainsi, ce projet de loi est le préalable nécessaire au vote du projet de loi n° 1054 relative à la protection des données personnelles.


 

n°1565 – Loi du 3 décembre 2024 relative à la protection des données personnelles

n°1565 – Loi du 3 décembre 2024 relative à la protection des données personnelles

Dépôt du projet de loi

Voir le projet de loi

Dépôt en Séance Publique et renvoi devant la Commission

CDN : Consultation

Rencontre avec une délégation de la Commission de Contrôle des Informations Nominatives

CDN : Désignation du Rapporteur

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CISAD : Consultations

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Consultations

Rencontre avec une délégation de la Commission de Contrôle des Informations Nominatives et de la Direction des Services Judiciaires

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CDN : Approbation du rapport

Adopté en Séance Publique

Publication au Journal de Monaco


Cette loi a pour objet de permettre l’obtention par Monaco d’une « décision d’adéquation » par la Commission européenne, par laquelle celle-ci reconnaîtrait que la législation monégasque offre aux personnes concernées un niveau de protection équivalent à celui consacré par le droit de l’Union européenne.

Une telle décision simplifierait les transferts de données personnelles de la Principauté avec les pays de l’Union Européenne et faciliterait dès lors le travail de nombreux professionnels de la place monégasque.

Pour ce faire cette loi intègre en droit monégasque trois textes internationaux distincts, à savoir :

. le Protocole d’amendement à la Convention pour la protection des personnes à l’égard du traitement automatisé des données à caractère personnel (STCE n°223) du Conseil de l’Europe, aussi appelé Convention 108 révisée, signé par Monaco le 10 octobre 2018 ;

. le Règlement (UE) n°2016/679 du 27 avril 2016, dit Règlement Général de Protection des Données Personnelles (ou RGPD) ;

. la Directive (UE) n°2016/680 du 27 avril 2016 relative à la protection des personnes physiques à l’égard du traitement des données à caractère personnel par les autorités compétentes à des fins de prévention et de détection des infractions pénales, d’enquêtes et de poursuites en la matière ou d’exécution de sanctions pénales, et à la libre circulation de ces données.

Ainsi, tout comme l’ensemble de ces textes, la loi précise, notamment, les conditions dans lesquelles les données personnelles doivent être collectées par le responsable du traitement, ainsi que les obligations lui incombant. Il définit également les droits que les personnes concernées peuvent exercer auprès du responsable de traitement ou de la future Autorité de Protection des Données Personnelles (APDP), qui remplacera l’actuelle Commission de Contrôle des Informations Nominatives (CCIN).

Le texte définit les missions et les prérogatives de cette future Autorité et précise qu’elle est, à l’instar de la CCIN, une Autorité Administrative Indépendante.

Il prévoit, en outre, de confirmer à la Commission instituée par l’article 16 de la loi n°1.430 portant diverses mesures relatives à la préservation de la sécurité nationale, le soin d’assurer le contrôle des traitements réalisés dans le cadre de la mise en oeuvre des dispositions de ladite loi.

Conformément aux disposition du deuxième alinéa de l’article 14 de la Constitution, le vote du projet de loi a été conditionné au vote préalable du projet de loi n°1053 portant approbation de ratification du protocole d’amendement à la Convention sur la protection des personnes à l’égard du traitement automatisé des données à caractère personnel.


 

n°266 – Proposition de loi instaurant les procédures du plaider coupable et de la convention pénale

n°266 – Proposition de loi instaurant les procédures du plaider coupable et de la convention pénale

Dépôt de la proposition de loi

CLEG : Début de l’étude

CLEG : Désignation du rapporteur

CLEG : Approbation du rapport

CLEG : Étude du texte consolidé et validation des amendements

Adoptée en Séance Publique


 

n°265 – Proposition de loi instituant un schéma directeur

n°265 – Proposition de loi instituant un schéma directeur

Dépôt de la proposition de loi

Dépôt en Séance Publique et renvoi devant la Commission

CEQV : Approbation du rapport

CEQV : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CEQV : Début de l’étude

CEQV : Désignation du Rapporteur

Adoptée en Séance Publique


La proposition de loi n° 265 entend instituer un schéma directeur de développement visant à améliorer le développement urbanistique de Monaco.

Le texte prévoit que cet outil de planification urbaine sera élaboré par le Ministre d’Etat, à la suite d’une série de consultations, et comprendra trois documents :

– Un rapport prospectif ;

– Un plan d’aménagement stratégique ;

– Un document d’orientation et d’objectifs.

Est prévue une évaluation de ce schéma, au maximum tous les 5 ans, par le Ministre d’Etat. A cette occasion, il pourra décider de le maintenir ou de le réviser afin de l’adapter à l’évolution des réalités du pays.

La proposition de loi poursuit également l’objectif de s’assurer de la compatibilité entre ce nouveau document d’urbanisme et les textes législatifs et réglementaires.


 

n°1564 – Loi du 21 octobre 224 modifiant la loi n°1.398 du 24 juin 2013 relative à l’administration et à l’organisation judiciaires

n°1564 – Loi du 21 octobre 224 modifiant la loi n°1.398 du 24 juin 2013 relative à l’administration et à l’organisation judiciaires

Dépôt du projet de loi

Dépôt en Séance Publique et renvoi devant la Commission

CLEG : Début de l’étude

CLEG : Désignation du Rapporteur

CLEG : Étude du texte consolidé et validation des amendements

CLEG : Approbation du rapport

Adoption du projet de loi

Publication au Journal de Monaco


Le projet de loi n° 1097 relative à l’administration et à l’organisation judiciaires vise à modifier la loi n° 1.398 du 24 juin 2013 en vue de réviser le tarif des émoluments des huissiers, et de prévoir qu’à l’avenir une telle révision pourra être réalisée par Ordonnance Souveraine sur la base d’un rapport établi par le Directeur des Services Judiciaires.


 

n°1563 – Loi du 21 octobre 2024 portant fixation du budget de l’exercice 2024 – rectificatif

n°1563 – Loi du 21 octobre 2024 portant fixation du budget de l’exercice 2024 – rectificatif

Dépôt du projet de loi

CFEN : Début de l’étude

CFEN : Désignation du Rapporteur

CFEN : Approbation du rapport

Dépôt en Séance Publique et renvoi devant la Commission

Adoption du projet de loi

Publication au Journal de Monaco


 

n°1104 – Projet de loi portant modification de la loi n°1.346 du 9 mai 2008 relative à la protection contre le tabagisme

n°1104 – Projet de loi portant modification de la loi n°1.346 du 9 mai 2008 relative à la protection contre le tabagisme

Dépôt du projet de loi

Dépôt en Séance Publique et renvoi devant la Commission


Le projet de loi n° 1104 prévoit de modifier la loi n° 1.346 du 9 mai 2008 relative à la protection contre le tabagisme en vue d’adapter les outils de prévention et de lutte contre le tabagisme face à l’évolution du marché du tabac.

Il prévoit notamment :

– l’extension du champ d’application du texte aux produits issus du tabac, aux produits connexes et aux dispositifs électroniques ;

– le rehaussement de l’âge légal de l’interdiction de la vente et de la distribution des produits du tabac et connexes, avec ou sans dispositif électronique, en le passant de 16 à 18 ans ; 

– l’interdiction des dispositifs de vapotage jetables, appelés « puffs ».